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dc.contributor.authorNdour, Ngor
dc.contributor.authorSambou, Bienvenu
dc.contributor.authorBa, Ngansoumana
dc.contributor.authorSambou, Yacinthe
dc.contributor.authorDasylva, Maurice
dc.date.accessioned2023-12-22T11:57:54Z
dc.date.available2023-12-22T11:57:54Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.issn1997-5902
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/1933
dc.description.abstractObjectif : Cette étude vise à connaître le régime alimentaire des poissons élevés dans les étangs piscicoles en Basse-Casamance. Méthodes et résultats : Afin de fournir des informations sur la nourriture des poissons élevés, des prélèvements d’eau des étangs et de contenus stomacaux des poissons récoltés, ont été analysés de juillet 2014 à mars 2016. La présence et l’abondance de phytoplanctons, dans ces prélèvements, ont montré l’existence d’un réseau trophique constitué d’une chaîne alimentaire planctophage et d’une autre détritivore. La première montre une similarité de régime alimentaire chez Sarotherodon melanotheron (Tilapia à gorge noire) aussi bien à Bandial qu’à Mlomp. Une autre similarité de régime planctophage est notée entre Sarotherodon melanotheron, Tilapia guineensis (Tilapia de guinée) et le groupe des mulets qui se nourrissent en partie de Gyrosigma atenuatum dans les deux contrées. Le régime alimentaire détritivore est noté chez Ethmalosa fimbriata (Etnmalose) et Hemichromis bimaculatus (Cichlidé joyaux à deux taches). Un régime alimentaire omnivore est noté chez Hemichromis fasciatus (Hemichromis rayé) qui se nourrit à la fois de détritus végétaux et de larves d’insectes comme c’est le cas chez les fretins du groupe des mulets. En définitive, la taille des principales espèces de poisson à la récolte laisse penser que la productivité naturelle des étangs, associée aux nutriments charriés par les eaux de ruissellement, suffit à nourrir convenablement les poissons. Toutefois, un apport alimentaire pourrait booster la croissance de certaines espèces de poissons notamment Pomadasys jubelini (Carpe blanche), Solea senegalensis (sole du Sénégal) et Sphyraena barracuda (Barracudas) à Bandial. Une telle mesure pourrait certainement se traduire par une production de poissons de meilleure qualité chez Mugil cephalus (Mulet cabot), Liza grandisquamis (Mulet à grandes écailles), L. falcipinis (Mulet à grandes nageoires), Elops Lacerta (Guinée du Sénégal), Tilapia guineensis, Sarotherodon melanotheron et Hemichromis fasciatus. La productivité naturelle des étangs indique que la pisciculture extensive peut servir de moteur de développement de l’aquaculture au Sénégal. L’exploitation du savoir local a permis de fabriqué un aliment en cours de test dans les bassins piscicoles du département d’agroforesterie.en_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesJournal of Applied Biosciences;No119; pp11849-11863
dc.subjectDétritivoreen_US
dc.subjectEtangs poissonsen_US
dc.subjectPhytoplanctonen_US
dc.subjectRégime alimentaireen_US
dc.subjectSimilaritéen_US
dc.titleAnalyse du régime alimentaire de l’ichtyofaune dans les étangs piscicoles traditionnels de la Basse Casamance (Sénégal)en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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