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dc.contributor.authorSow, Thiané
dc.contributor.directeurBarboza, Denis
dc.contributor.presidentGuèye, Serigne Modou Kane
dc.date.accessioned2025-07-09T09:39:38Z
dc.date.available2025-07-09T09:39:38Z
dc.date.issued2025
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2419
dc.description.abstractPRISE EN CHARGE ANESTHÉSIQUE DES URGENCES CHIRURGICALES PÉDIATRIQUES À L’HÔPITAL DE LA PAIX DE ZIGUINCHOR : ÉTUDE RÉTROSPECTIVE À PROPOS DE 154 CAS Introduction : Les urgences chirurgicales sont de plus en plus fréquentes à Ziguinchor. L’anesthésie pédiatrique reste une discipline anxiogène pour les anesthésistes. L’anesthésiologie pédiatrique requiert un environnement tant matériel qu’humain adapté à des situations très variées. Objectif : Évaluer la prise en charge anesthésique des urgences chirurgicales pédiatriques du service d’anesthésie-réanimation de l’hôpital de la Paix de Ziguinchor. Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective, descriptive et analytique réalisée sur une période de 2 ans allant de janvier 2022 à juillet 2024. Nous avons inclus les patients âgés de 0 à 15 ans reçus pour une urgence chirurgicale. Les paramètres étudiés étaient sociodémographiques, anesthésiques, chirurgicaux et évolutifs. Résultats : Nous avons colligé un effectif de 154 patients opérés, soit une prévalence de 6,7 %. Le sex-ratio est de 2,85. La tranche d’âge de 10–15 ans était la plus représentée dans 37,7 % des cas. L’âge moyen était de 6,96 ans avec des extrêmes de 4 jours et 15 ans. Les principaux diagnostics étaient d’origine traumatique dans 29,2 %, suivis des infections de la peau dans 18,2 % et des corps étrangers dans16,2 %. La majorité (98,7 %) d’enfants était classée ASA 1U. L’anesthésie générale était la technique la plus utilisée (85,8 %). L’induction anesthésique était majoritairement réalisée par voie IV (98 % des patients) et le sévoflurane était le seul halogéné utilisé. L’administration du paracétamol seul a été le plus utilisé pour l’analgésie post- opératoire (76,7 % des patients), suivie de l’association du paracétamol et du tramadol (18,9 %). Le laryngospasme était la seule complication retrouvée en peropératoire (soit un taux de morbidité de 0,64 %). Un seul cas de décès peropératoire a été répertorié, soit un taux de mortalité de 0,64 %. Conclusion : La pratique de l’anesthésie pédiatrique en urgence pose des difficultés organisationnelles par manque de bloc opératoire adapté à la chirurgie pédiatrique.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUFR2S (Université Assane Seck de Ziguinchor)en_US
dc.subjectUrgence chirurgicale pédiatriqueen_US
dc.subjectAnesthésie pédiatriqueen_US
dc.subjectTraumatologieen_US
dc.subjectHôpital de la Paix Ziguinchoren_US
dc.titlePrise en charge anesthésique des urgences chirurgicales pédiatriques à l'Hôpital de la Paix de Ziguinchor : étude rétrospective à propos de 154 cas.en_US
dc.typeThèseen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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