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    Analyse socio-économique de la riziculture de mangrove et de la culture de l’anacarde dans trois villages balantes de Mansoa (région d’Oio, Guinée Bissau)

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    kambaye_memoire_2020 (2.418Mb)
    Date
    2020
    Author
    Kambaye, Mamadou
    Metadata
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    Abstract
    L’agriculture Bissau-guinéenne est dominée par la riziculture et la production anacardière. Ainsi, cette étude a pour objectif de contribuer à une meilleure compréhension des solutions paysannes dans l’adoption de deux systèmes de culture pour faire face à l’insécurité alimentaire. Elle a été réalisée dans trois villages balantes de Mansoa, auprès de 77 ménages. Sur la base des enquêtes agro-socioéconomiques, l’étude montre que l’héritage (83,1%) est le principal mode d’accès aux terres gérés par les propriétaires terriens exclusivement constitués d’hommes. La main d’œuvre est dans la plupart des cas (56,7%) locale dans les travaux rizicoles. La faible pluviométrie (52%) et le manque de main d’œuvre (16,3%) constituent les principales contraintes de la riziculture de mangrove. Dans les plantations d’anacarde, le semis direct est le principal mode de plantation selon 77% des producteurs. La majorité des producteurs (84,2%) cultive le même nombre de champs de riz avant et à l’avènement de la culture de l’anacarde. Il y a une absorption de la main d’œuvre par la campagne de cajou aux dépens de la rizière, selon 86,8% des producteurs. Par ailleurs, les revenus tirés du cajou ont plusieurs destinations, les plus citées sont l’achat du riz (14,1%), du matériel de travail dans les champs (13,4%) et le paiement de la main d’œuvre rizicole (13,2%). Dans la zone d’étude, la recharge de la nappe superficielle (47,6%) et la dégradation de la mangrove (40%) sont des conséquences de la riziculture. En contrepartie, la culture de l’anacarde est responsable de la dégradation de la forêt continentale (25,2%) et de la désertion de la faune sauvage (24,4%). En termes d’atouts, la culture de l’anacarde procure du combustible aux populations et permet de contrôler indirectement les feux de brousse (25,2%) des producteurs. Une caractérisation des conditions agro-pédo-climatiques permettrait d’analyser leur aptitude à produire du riz de qualité et en quantité suffisante.
    URI
    http://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/863
    Collections
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