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    IST hors hépatite B chez les PVVIH à Ziguinchor : profil épidémio-clinique, étiologique et évolutif chez 42 patients colligés sur une période de 10 ans (1er janvier 2014 au 31 décembre 2023)

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    diop_these_2024 (2).pdf (3.307Mb)
    Date
    2024
    Author
    Diop, Abdoulaye
    Metadata
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    Abstract
    INTRODUCTION : L’infection par le VIH et les IST demeurent un problème majeur de santé publique, particulièrement en Afrique subsaharienne, qui porte 40 % de la charge mondiale. En 2020, l’OMS a recensé 374 millions de nouveaux cas d’IST dans le monde, avec des chiffres alarmants pour la chlamydiose, la gonococcie, la syphilis et la trichomonose. Au Sénégal, 206 840 cas d’IST ont été rapportés en 2022. OBJECTIF : Décrire les aspects épidémio-cliniques, étiologiques, thérapeutiques et évolutifs des IST hors hépatite B chez lez PVVIH dans la région de Ziguinchor. MATÉRIEL ET MÉTHODES : Il s’agissait d’une étude transversale, rétrospective, menée sur une période de dix ans (2014- 2023) dans trois centres de suivi de PVVIH à Ziguinchor. Etaient inclus, les PVVIH qui présentaient des signes et/ou syndromes d’IST (hors hépatite B). Les patients qui présentaient une hépatite B comme seule IST n’étaient pas inclus. Les données étaient collectées grâce à des fiches d’enquête standardisées, saisies sur Excel 2019 et analysées avec JAMOVI 2.3.28.0 RÉSULTATS : La prévalence des IST était de 2,03 % (42 patients sur 2069) chez les PVVIH. Les femmes représentaient 76,2 % (32 femmes, ratio H/F : 0,3) de notre effectif. L’âge moyen des patients était de 37,8 ans (19-57 ans), et la tranche d’âge de 30-40 ans représentait 31 %. Des antécédents d’IST étaient notés chez 26,2 % des patients, incluant herpès génital (27,3 %) et vaginose bactérienne (9,1 %). Les signes et/ou syndromes d’IST trouvés étaient : les douleurs pelviennes (28,6 %), les leucorrhées (26,2%), les ulcérations génitales (23,8 %), les condylomes (14,3%) et l’urétrite (4,8%). La sérologie syphilitique était positive chez 4,2 % (1/24) des patients, la sérologie chlamydienne chez 16,7 % (1/6) et l’antigène Hbs chez 16,7 % (7/42). Le prélèvement vaginal effectué chez 72,7% (n=8) des patientes qui présentaient une leucorrhée mettait en évidence Gardenella vaginalis chez 2 et Mycoplasma genitalium chez une. Une prise en charge syndromique était effectuée chez 83,3 % des patients. Les molécules prescrites étaient : Doxycycline (31%), azithromycine (28,6%), métronidazole (21,4%), ciprofloxacine (21,4%), antiherpétique (aciclovir ou valaciclovir) (7,2%) et Benzathine penicilline (2,4%). Le taux de guérison était de 78,6 %. Un échec thérapeutique était noté chez 7 % et une récidive chez 11,9 %. Les recommandations OMS et nationales n’étaient respectées dans la quasi-totalité des cas. CONCLUSION : Notre étude met en évidence une prévalence relativement faible des signes et/ou syndromes d’IST, hors hépatite B, chez les PVVIH. Ils sont dominés par les douleurs pelviennes, les leucorrhées et les ulcérations génitales. Le taux de guérison, bien qu’important, est inférieur au taux attendu du fait des protocoles thérapeutiques inadaptés.
    URI
    http://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2256
    Collections
    • Thèses UFR 2S

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