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dc.contributor.authorNgom, Abdoulaye
dc.date.accessioned2024-09-11T09:47:03Z
dc.date.available2024-09-11T09:47:03Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2178
dc.description.abstractLe rapport entre les salaires de base en Europe occidentale et en Afrique subsaharienne est d’au moins un facteur dix, voire nettement plus ; et il n’évolue guère. Beaucoup de jeunes Africains rêvent donc d’émigrer en Europe. La voie aérienne reste un privilège réservé aux familles des élites : pour prendre l’avion il faut un visa pour un pays européen. Sans visa il ne reste que la voie maritime, par navigation côtière le long des côtes africaines, et la voie terrestre à travers le Sahara. Ce sont ces voies très dangereuses et à l’issue aléatoire qu’empruntent chaque année des dizaines de milliers de migrants. L’article étudie le cas d’une famille de petits paysans-éleveurs vivant d’autosubsistance à l’intérieur de la Casamance, la région du Sud du Sénégal. Il permet de voir comment ce groupe familial de 42 personnes en vient à décider d’envoyer l’un des siens tenter d’entrer clandestinement en France, au risque de sa vie. Comment il choisit le migrant et se mobilise pour réunir les fonds nécessaires ; et ce qu’il advient des deux tentatives. Cette étude de cas donne une idée des étapes suivies chaque année par des dizaines de milliers d’autres familles en Afrique.en_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesBorders in Globalization Review;Vol. 5/No 2 (Spring & Summer 2024); pp. 26–38
dc.subjectMobilisationen_US
dc.subjectMigration illégaleen_US
dc.subjectFamilleen_US
dc.subjectVoyageen_US
dc.subjectCasamanceen_US
dc.titleLes mobilisations familliales pour le départ migratoire à partir de la casamance (Sénégal)en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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