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dc.contributor.authorSène, Ismaïla
dc.date.accessioned2021-07-09T11:12:58Z
dc.date.available2021-07-09T11:12:58Z
dc.date.issued2020
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/405
dc.description.abstractL’implication des acteurs locaux, en tant qu’intermédiaires, dans la conduite des opérations de développement a entraîné l’apparition de nouvelles réflexions qui vont interroger l’intermédiation comme une problématique nouvelle dans la pensée sur le développement. En Afrique, ces réflexions sont dominées par des auteurs qui, influencés par les travaux de J.P. Olivier De Sardan et T. Bierschenk (1993), assimilent l’intermédiation à la pratique du courtage. C’est cette conception de l’intermédiation que ce travail se propose de discuter en partant de l’exemple des projets de développement mis en œuvre dans la communauté rurale de Niaguis (Casamance) par les ONG ENDA-ACAS (Environnement et Développement-Action en Casamance) et ACPP (Assemblée de Coopération pour la Paix). La méthodologie de recherche est basée sur une démarche socio-anthropologique qui a permis de combiner, de manière complémentaire, les entretiens semi-directifs et l’observation directe. Les résultats de cette recherche montrent que, contrairement à l’approche De Sardanienne, à Niaguis les acteurs de l’interface sont dépourvus de ressources et de marge d’action pour œuvrer dans le courtage. Ils jouent donc le rôle de simples intermédiaires.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titleCourtiers en développement ou simples intermédiaires ? Ce que dit le terrain en Casamance (Sénégal)en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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