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dc.contributor.authorNiamadio, Mamadou
dc.date.accessioned2021-05-27T17:07:28Z
dc.date.available2021-05-27T17:07:28Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/260
dc.description.abstractLe constat de l’obsolescence du droit africain a fait germer l’idée de créer une réglementation moderne et adaptée à l’économie des pays africains dans l’esprit des décideurs africains. L’entreprise s’était révélée nécessaire en raison de l’absence jusque-là de tout effort législatif destiné à épousseter la législation africaine postcoloniale alors qu’ailleurs, en France et dans la plupart des pays occidentaux, le droit des affaires était à mise à jour permanente ; constamment les textes y sont modifiés parce que le monde est soumis à de constants bouleversements1 . C’est dans ce contexte que l’OHADA a été instituée par le Traité constitutif signé à Port Louis (Ile Maurice) en Avril 19932 , entré en vigueur le 18 septembre 1995, il a été révisé à Québec en 20083 . Le droit Ohada est un système juridique et judiciaire qui vise à garantir la sécurité juridique4 des affaires en adoptant un droit commun des affaires dont l’interprétation est confiée à une seule instance juridictionnelle, la Cour commune de justice et d’arbitrage. Il est composé aujourd’hui de dix-sept (17) Etats d’Afrique5 subsaharienne ayant en commun un même droit des affaires.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectdroit africainen_US
dc.subjectdroit ohadaen_US
dc.subjectattribution gratuiteen_US
dc.titleL’attribution gratuite d’actions en droit OHADAen_US
dc.typeMémoireen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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