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dc.contributor.authorNgom, Abdoulaye
dc.date.accessioned2021-12-16T11:52:48Z
dc.date.available2021-12-16T11:52:48Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.issn: 2107-0385
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/1267
dc.description.abstractDepuis quelques années, les enclaves de Ceuta et Melilla constituent le point d’entrée de milliers de migrants en provenance pour la plupart des pays subsahariens et de l’Afrique de l’ouest. Au Sénégal, l’immigration clandestine a pris des proportions inquiétantes dans certaines régions du pays notamment en Casamance où de nombreux jeunes ont emprunté les chemins de la migration clandestine. À partir d’enquêtes effectuées depuis 2013 en Casamance, cet article examine les déterminants et les types de mobilisations de ressources impliquées par ces voyages.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherPresses universitaires de Strasbourg.en_US
dc.relation.ispartofseriesRevue des sciences sociales;
dc.subjectMigration clandestineen_US
dc.subjectMigration des jeunesen_US
dc.subjectCasamanceen_US
dc.titleLes tentatives d’émigration par la mer de jeunes sénégalais de Casamance.en_US
dc.title.alternativeMigrations across the Sea of Young Senegalese from Casamance.en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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