Show simple item record

dc.contributor.authorDiallo, Laouratou Diang
dc.contributor.authorNdour, Ngor
dc.contributor.authorDasylva, Maurice
dc.date.accessioned2021-08-03T13:32:19Z
dc.date.available2021-08-03T13:32:19Z
dc.date.issued2021
dc.identifier.issn2429-5396
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/448
dc.description.abstractMalgré sa régression devenue préoccupante en Casamance, la mangrove y joue un rôle socioéconomique et environnemental indispensable. Cependant, la prise de conscience de cette situation a conduit à la mise en œuvre de projets de restauration de la mangrove par diverses organisations. Objectif : Afin de comprendre la nouvelle dynamique de l’écosystème, la présente étude vise une meilleure connaissance de la flore et de la végétation ligneuse des plantations de mangrove dans la commune de Coubalan. Méthodes : A cet égard, 80 relevés de végétation ont été effectués dans trois plantations d’âge diffèrent. Par ailleurs, des enquêtes socioéconomiques ont été effectuées auprès de 90 ménages. Résultats : L'étude montre que ces plantations sont essentiellement constituées de Avicennia germinans et Rhizophora mangle. L’état actuel des plantations indique des densités variant de 6781,0 ± 3980,9 à 5100,0 ± 5000,6 individus à l’hectare. Dans les plantations, le taux de régénération naturelle, qui varie de 2 à 60 % en fonction des sites, augure une bonne dynamique de l’écosystème mangrove. Les tiges de grande taille font des pics de 2,68 m et des diamètres de 2,68 cm dans le site d’Ebakaye. Dans les autres sites (Kouronkone et Koumambarak), la taille des plantes varie de 1,40 à 1,92 m respectivement. Dans les différentes plantations, les taux de couverture sont faibles et varient de 30,1 ± 22,7 à 41,3 ± 34,4 %. Au regard des perceptions des populations, l’augmentation de la superficie des mangroves de Coubalan a débuté dans les années 1990. Les populations imputent les causes de cette dynamique positive au reboisement dans 63% des citations, à la hausse de la pluviométrie dans 27% de cas et à la régénération naturelle dans 10% des cas. Conclusion : L'évolution progressive de ces plantations a abouti au retour de certaines espèces animales de mangrove comme les poissons et les huitres; d’où la nécessité de faire l’évaluation écologique et socioéconomique des plantations de mangrove en milieu rural.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectMangroveen_US
dc.subjectFloreen_US
dc.subjectPlantationen_US
dc.subjectDynamiqueen_US
dc.subjectTauxen_US
dc.subjectCoubalanen_US
dc.titleAnalyse de la flore et de la végétation des plantations de mangrove de la commune de Coubalan (Casamance, Sénégal)en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Koldaen_US


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record