Show simple item record

dc.contributor.authorSeck, Fallou
dc.date.accessioned2024-05-17T13:25:45Z
dc.date.available2024-05-17T13:25:45Z
dc.date.issued2020
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2106
dc.description.abstractCette étude s’inscrit dans le contexte de suivi et de gestion des ressources agroforestières. Les objectifs étaient d’une part, l’évaluation de l’augmentation du carbone aérien et d’autre part l’évaluation de la quantité de carbone perdu à cause des feux sur l’ensemble du territoire sénégalais puis en fonction des types d’occupations du sol sur la période allant de 2000 à 2015. Pour la réalisation de cette étude, les logiciels de Système d’Information Géographique et R ont permis de traiter les données sur la production primaire nette mondiale pour obtenir le carbone aérien au Sénégal à partir des images satellitaires de types MODIS. Ils ont aussi servi à traiter les données sur le carbone perdu du fait des feux au Sénégal. Les statistiques calculées à partir de ces logiciels ont été exportées dans Excel pour traitement et analyse. L’augmentation du carbone aérien au niveau du Sénégal varie entre 985 tC et 1 170 tC durant toute la période d’étude considérée. La zone humide et la forêt emmagasinent au niveau aérien le moins de carbone par rapport aux autres classes avec en moyenne 32 tC. Cependant, la savane arbustive et arborée stocke une quantité de carbone supérieure à celle des autres types d’occupation du sol. Toutefois, la zone humide présente la densité de carbone moyen la plus élevée avec 14 000 gC/m2 durant la période 2004-2007. Alors que la savane arbustive et arborée ainsi que la zone de culture possèdent la plus faible densité avec une valeur de 4 000 gC/m2 durant la période 2000-2003. Le carbone perdu à cause des feux au niveau du Sénégal varie très fortement entre 30 tC et 107 tC. Il est le plus élevée au niveau de la savane boisée ainsi que celle arbustive et arborée quelle que soit l’année considérée. La zone humide sur l’ensemble des années, n’a enregistré aucune perte de carbone causée par les feux. Ces résultats constituent une bonne base en ce qui concerne la connaissance de la capacité des écosystèmes du Sénégal pour la séquestration du carbone. Mais ils sont à améliorer par la prise en compte d’autres paramètres.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectProduction primaire netteen_US
dc.subjectMODISen_US
dc.subjectClasse d’occupation du solen_US
dc.subjectCarboneen_US
dc.titleEvaluation du carbone au Sénégal à partir de l’imagerie satellitaire (2000 à 2015)en_US
dc.typeMémoireen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record