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dc.contributor.authorDiop, Dame
dc.date.accessioned2024-03-22T14:24:36Z
dc.date.available2024-03-22T14:24:36Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.issn2706 - 6312 / 2708 - 0633
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2075
dc.description.abstractLes prisons sont des lieux de malheur dans le roman de Pedro Montengón (1745-1824), que ce soit dans le roman éducatif Eusebio (1786), dans El Antenor (entre 1788-1789) avec les aventures du « caudillo éclairé » (Antenor) à travers une apologie du despotisme ilustrado, ou dans le roman byzantin Eudoxia, hija de Belisario (1793). Dans ces trois romans, les prisons sont des lieux où règne la loi de la jungle en plus du désordre, de la négligence, de l’intolérance, de l’insécurité et de l’injustice : ce sont des lieux de réclusion et d’isolement total qui « engloutissent » presque tous les prisonniers, à cause de l’ignominie, de l’infamie, de l’inhumanité, de la déshumanisation et du chaos. Si dans Eusebio et Eudoxia, les prisons sont des lieux d’expérimentation de la philosophie morale et du stoïcisme de Sénèque, dans El Antenor, elles mettent en scène des coupables enfermés, mais surtout des personnages victimes du pouvoir arbitraire.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherL3DL-CI, Université Félix Houphouët-Boigny, Côte d’Ivoireen_US
dc.relation.ispartofseriesRevue Akofena;Vol.4/No8
dc.subjectPedro Montengónen_US
dc.subjectPrisonsen_US
dc.subjectVertu naturelleen_US
dc.subjectStoïcismeen_US
dc.subjectUtilitéen_US
dc.titleLes prisons dans le roman de Pédro Montengon : Discours philosophique et politiqueen_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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