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dc.contributor.authorDiédhiou, Sécou Omar
dc.contributor.authorThior, Mamadou
dc.contributor.authorDiouf, Adama Cheikh
dc.contributor.authorMballo, Issa
dc.contributor.authorDiallo, Ansoumana Kouma
dc.date.accessioned2021-10-29T11:54:55Z
dc.date.available2021-10-29T11:54:55Z
dc.date.issued2021
dc.identifier.issn1857-7881
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/1121
dc.description.abstractLa vallée de Badobar, polarisant 23 villages, est située à cheval entre les communes de Mangaroungou Santo et de Simbandi Brassou. Elle présente un potentiel de terres rizicultivables d’environ 1 500 ha. Cette riziculture est globalement pluviale, car elle se produit uniquement pendant l’hivernage. Cependant, la dépendance à la pluviométrie fait que les productrices sont confrontées à des contraintes sociales et environnementales qui amenuisent la productivité du riz. Le but du présent article est d’analyser les contraintes à la production rizicole de bas-fonds et d’identifier les stratégies d’adaptation. La méthodologie adoptée s’appuie sur l’exploitation de données quantitatives à partir d’une population cible de 13 333 habitants. Au total, 8 villages représentatifs des vallées rizicoles ont été retenus pour les enquêtes de terrain. La démarche qualitative s’est aussi appuyée sur le recueil de récits de vie de 10 agricultrices de la vallée. Les résultats révèlent que la riziculture de bas fonds fait face à des problèmes (climatiques) qui ralentissent son développement. La problématique la plus récurrente évoquée par les rizicultrices est la salinisation (61%). L’ensablement (30%) et l’acidification (9%) représentent aussi un problème central. Par ailleurs, des facteurs socioéconomiques bloquent le développement de la riziculture dans la vallée (95% des femmes n’ont pas de sources de financement et 55% n’arrivent pas à se procurer ni les fertilisants ni les produits phytosanitaires). Face à ces difficultés, les paysannes mettent en œuvre des stratégies durables d’adaptations (nouvelles variétés de riz) qui participent à l’amélioration des rendements (700 à 800 kg de riz paddy dans une parcelle de 500 m²), à la conservation et la valorisation des ressources naturelles (eau, terre). Ainsi, 66% des rizicultrices ont recours à une nouvelle variété de riz.en_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesEuropean Scientific Journal, ESJ;Vol.17 / No.24
dc.subjectRiziculture pluvialeen_US
dc.subjectBas-fondsen_US
dc.subjectContrainte de productionen_US
dc.subjectStratégies d’adaptationen_US
dc.subjectSédhiouen_US
dc.subjectVallée de Badobar (Sénégal)en_US
dc.titleRiziculture pluviale de bas-fonds dans la région de Sédhiou (Sénégal) : contraintes de production et stratégie d’adaptation.en_US
dc.title.alternativeLow-Lying Rainfed Rice Growing in the Sédhiou Region (Senegal): Production Constraints and Adaptation Strategy.en_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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