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dc.contributor.authorSène, Mbaye
dc.contributor.authorDiouf, Ibrahima
dc.contributor.authorTouré, Maimouna
dc.date.accessioned2021-07-08T10:53:50Z
dc.date.available2021-07-08T10:53:50Z
dc.date.issued2013
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/386
dc.description.abstractObjectif : Notre étude a pour objectifs de déterminer les niveaux de connaissances, les attitudes et les risques liés à l’utilisation de la pilule contraceptive d’urgence chez une population de femme dans la région de Dakar et sa banlieue. Méthodes : Nous avons mené une enquête auprès de jeunes femmes de la région de Dakar en utilisant un échantillonnage de type raisonné. La taille de l’échantillon est fixée à 114 avec comme unité statistique la femme. L’enquête s’est déroulée après consentement éclairé et une information sur les objectifs de l’étude a été systématiquement donnée. Nous avons élaboré un questionnaire anonyme qui comprend comme rubriques : les niveaux de connaissance sur l’utilisation de la contraception d’urgence, sur le rapport entre contraception d’urgence et infection sexuellement transmissible. Résultats : 89,4% des femmes enquêtées connaissent la contraception d’urgence par différentes sources d’information que sont les médias (22,8%), les amies (30,7%), l’internet (7,9%), le personnel de santé (33,7%). Les méthodes de contraception orale les plus connues par les enquêtées sont le NORLEVO® 88,8%, suivies respectivement du DIU (3,1%), d’OPTINOR® (2,0%) et enfin du PREGNON® (1,0%). 15,4% des enquêtées pensent que la pilule contraceptive d’urgence est efficace 24h après les rapports sexuels, 59,6% parlent d’une durée d’efficacité de 72h, 3,8 % se sont prononcées sur une durée d’efficacité de 120 h après un rapport sexuel non protégé. Chez les personnes enquêtées utilisatrices de la CU, 54,5 % ont déclaré avoir au moins une fois des signes d’IST. Les cas d’IST révélés par les répondants sont à type d’écoulement (47,22 %), de démangeaisons (25 %) et de prurits vulvaires (27,78 %). 60,6 % des utilisatrices ont affirmé avoir fait le test de dépistage du VIH contre 39,4 % qui ne l’ont pas encore fait ; 25,5% connaissent le statut sérologique de leur partenaire alors que 74,5% l’ignorent Conclusion : Il ressort de notre étude que la méthode de contraception d’urgence la plus connue est la méthode orale au NORLEVO®. Ces résultats montrent également une forte prévalence des IST chez les utilisatrices de la CU.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectContraception d’urgenceen_US
dc.subjectDakaren_US
dc.titleContraception d’urgence: niveaux de connaissances, attitudes et risques lies à son utilisation chez une population de femmes dans la région de Dakaren_US
dc.typeArticleen_US
dc.territoireAutre territoireen_US


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