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dc.contributor.encadrantDiémé, Joseph Saturnin
dc.contributor.authorBa, Ismatou
dc.contributor.presidentColy, Ismaila
dc.date.accessioned2025-11-22T12:56:42Z
dc.date.available2025-11-22T12:56:42Z
dc.date.issued2025
dc.identifier.urihttp://rivieresdusud.uasz.sn/xmlui/handle/123456789/2555
dc.description.abstractLa salinisation des terres, phénomène mondial, affecte une proportion importante des terres agricoles, notamment celles qui sont irriguées. Face à cette situation, il est crucial de développer des solutions pour restaurer leur fertilité. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’effet des apports organiques, minéraux et biologiques sur les propriétés physico-chimiques du sol et sur la croissance ainsi que le rendement du riz (variété WAR 77-3-2-1) en milieu salé. Pour ce faire l’expérimentation a été conduite selon un dispositif en blocs de Fisher à un facteur, correspondant au type d’apport (organique, minéral et biologique), dans des rizières salées situées à Enampore, Seléky et Bandial. Six traitements ont été appliqués avec trois répétitions chacun : un témoin sans apport (T0), un engrais minéral (FM), une inoculation de champignons mycorhiziens (INO), un broyat de feuilles de manguier (Br), ainsi que deux composts de formules différentes (C1 et C2). Les résultats de l’essai ont montré que de 0 à 20 cm de profondeur, les parcelles ayant réduit l’acidité par rapport à la situation de référence (T0i= 4,44±0,32) et au témoin (T0= 4,45±0,38) ont été celles qui ont reçues les apports en composts C1 (4,99±0,33) et C2 (4,85±0,29). La conductivité électrique est plus basse avec C1 (1,5±1,01 dS/cm et C2 (1,38±1,03 dS/cm) par rapport au témoin (3,85±1,98dS/cm) au niveau de la couche 0-20 cm. Les teneurs en matière organique, en azote et en carbone les plus élevées ont été notées avec les composts C1 (respectivement 0,66±0,084 % ; 0,044±0,004 % ; 0,38±0,049 %) et C2 (respectivement 0,63±0,093 % ; 0,043±0,005 % ; 0,36±0,054 %). Par ailleurs, la capacité d’échange cationique du sol est plus importante avec les apports de Br (12,33±0,935 meq/100g) ; de FM (12,17±0,661 meq/100g) et de INO (12,28±0,755 meq/100g). Toutefois, la quantité de phosphore la plus élevée a été notée avec le compost C1 (2,68±0,761 ppm). Le nombre de talle le plus élevé a été observé avec les apports en composts (C1= 205,71 ± 49,53 talles/m2 ; C2= 218,57 ± 76,8 talles/m2) et en formule minérale recommandé (FM= 220,71 ± 104,7 talles/m2). La biomasse la plus élevée a été enregistrée avec C2 (5802,01 ± 2924,68 Kg/ha) suivi de C1 (5003,94 ± 3114,01 Kg/ha). Le rendement en grain le plus élevé a été enregistré avec les apports en compost notamment C2 soit 1200,52± 285,23Kg/ha et de C1 avec 956,7 ± 570,43Kg/ha. L’apport des composts C1 et C2 a permis de diminuer l’acidité et la salinité du sol, favorisant ainsi une meilleure croissance du riz et une hausse de son rendement.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectSalinitéen_US
dc.subjectComposten_US
dc.subjectMycorhizienen_US
dc.subjectSolen_US
dc.subjectRizen_US
dc.subjectRendementen_US
dc.titleEffets des apports organiques, minéraux et biologiques sur les propriétés physico- chimiques du sol et le rendement du riz en milieu paysan à sol salé (Enampore - Ziguinchor-Sénégal)en_US
dc.typeMémoireen_US
dc.territoireRégion de Ziguinchoren_US


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